Assis devant les portes d'Utopia la grande citée du Pére, Earyldur et WT discutais à voix basse de nombreux monstres avait été signalé dans les environs, il ne fallait pas attiré l'attention.
Wt jouais avec une flamme magique qu'il controlais par la volontée, son entrainement magique était une lutte de tous les moments, et il devais progressé vite. Ainsi mettait'il un maximun de chance de son coté en pratiquant beaucoup. Earyldur de son coté sondé l'obscuritée de son regard rougeoyant. Il sortit son épée de son fourreau, puis regarda de chaque coté. Son instinct lui disait que quelque chose clochais, il regarda Wolf-Troll qui se leva étaignant la flamm entre ses doigts. Deux énormes élémentaires à l'intense aura maléfique fondais sur eux, dans un quasi silence, seul le raclement de gravillons avais prévenut le Kastar. En quelques instant la mélée fut générale, au silence des élémentaires les Trolls répondait par de fort cri de guerre, mille fois amplifié par l'écho de la grotte. Puis en quelques secondes tous fut finit, Earyldur à force d'acharnement et de coups puissants dissipa le nuage qu'étais son adversaire, WT tant qu'a lui usait de sa puissante rafale psychique pour défaire le dernier monstre. Puis le silence revint. D'abord soulageant pour les deux Trolls fatigués puis de nouveau inquiétant, comme d'usage dans ces profondeurs. Les deux retournérent prendre position devant les portes en mithril de la citée. Toujours sur leurs gardes ils attendaient un nouvel assaut.
Bien plus tard toujours rien ne se passait, mais aucun bruit ne se faisais entendre. Earyldur regarda Wt l'air inquiet:
"Il se passe quelque chose de vraiment étrange ce soir"
Wt soupira l'air abbatut:
"Depuis quelques temps c'est ainsi tous les soirs, j'ai l'impression qu'une présence rôde autour de la citée..."
Earyldur regarda le Durakuir avec un air surpris, il fallais beaucoup de choses pour inquiété Wolf-Troll d'habitude:
"Une présence..." Earyldur cracha un morceau d'écailles d'Abishaï coincé entre ses dents, "maléfique, bénéfique..."
De nouveau WT soupira:
"Si je le savais mon ami, si je le savais..."
Pendant qu'ils discutaient de ces évenements inquiétant, une bouche indéfenissable commençait à se former sur le portail en mithril derriere eux. Sentant une chose anormale le deux Trolls se retournérent ensemble pour regarder le phénoméne sans trop savoir de quoi il retournais. La bouche s'ouvrit et parlant aussi furtivement que le souffle d'une légére brise. Les paroles restant incompréhensibles les deux trolls s'approchérent les armes à la main. Aussitot la bouche s'ouvrit en grand laissant paraitre la main d'un Troll sans âge tanant une Lanterne aussi brillante que la lumiére de milles soleils. Les deux Trolls habitué à l'obscuritée des grottes reculérent surpris et surtous aveuglé par l'intensitée lumineuse soudaine. Puis une voix tel un orgae d'été dans les montagnes emplit la grotte et l'intérieur de la citée afin qu'elle soit entendut de tous:
"Mes enfants vous avez enfin retrouvé mon héritage, cette citée est votre, et je sais que vous la défendez au prix de votre vie, mais la mission que je vous ai confiée est loin d'être achevée. Votre nombre restreint n'est pas encore suffisant pour rependre ma parole dans toutes les grottes obscures de ce monde. Croissé et multiplié, peuplé notre citée, hérigé des temples, faites vous plus d'amis que vous ne pourrez jamais compter. Tous dans ce monde doivent vous connaitre, et c'est par cette connaissance que passera mon message...."
La voix du Pére cessa un instant, la lanterne commençais à disparaitre à l'intérieur de la bouche sur la porte, Earyldur et Wolf-Troll à genou continuais d'assister au miracle, les yeux emplit de larmes de joies. Puis tel un tremblement de terre la voie reprit produisant des vibrations perceptibles à des kilométres à la ronde:
" Paix et prospérité pour tous les Trolls!!!*
Puis la lumiére diparut et la bouche se refermat sur une expression sévere. Earyldur et Wolf-Troll toujours à genou, se relevèrent et courir au temple porter la parole, malgré que ce message ai été entendut à des kilométres la ronde.
Extrait du journal d'Earyldur " Un kastar en Quête de l'Utopie"
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